Société powerless

La société cashless est partout. Une force maléfique est à l’oeuvre derrière cette crise. Complot, il y a bien. Celui de supprimer le pouvoir de l’argent aux mains des gens. Quand vous tenez une liasse de billet dans la main, vous avez un pouvoir. Quand vous tenez un chéquier ou une carte de crédit, vous n’avez rien. La seule manière de supprimer le pouvoir de la liasse est de supprimer le pouvoir de délivrance de la monnaie. Quelque chose qu’ils ont fait en Inde et cela a été un fiasco, car le pays est en faillite.

Cette crise a été l’occasion de supprimer totalement le secteur informel. Des gens qui travaillent au noir, qui ne cotisent pas, ne sont pas taxés et n’ont pas de compte en banque. La totalité des aides financières nécessitaient qu’on soit dans le système. C’est criant dans les pays pauvres où la suppression de l’argent papier est le principal projet. “Les billets de banque sont le principal vecteur du virus” disaient-ils.

Soutenu à coups de milliards, tout le monde doit entrer dans l’enclos bancaire, assurance, crédit, dette, justificatif, rien que des numéros. Cette force maléfique n’a rien de mystique, elle est au contrairement matériellement mécanique pour insérer de force tout le monde dans le système.

Si le secteur informel, des pauvres gens qui vivent au jour le jour, ne peuvent pas entrer dans l’enclos, alors l’abattoir est déjà prêt pour eux. On a vu les occidentaux, devenir totalement impuissants, anesthésiés, car on leur a retiré tout le pouvoir du cash, c’est désormais les pays pauvres qui sont la cible, main d’oeuvre pas chère et de bons moutons pour le grand remplacement. La société qui s’annonce est terrifiante, l’étau se referme de tous les cotés. Pour ma part, si l’étau commence à me toucher, alors je signifie mon départ définitif de cette société. Plutôt qu’une vie d’esclave, je préfère une mort libre et noble. De toutes façons, rien ne me retient ici. Tout le monde est de l’autre coté, surtout les meilleurs.