Totalitarismus quod merentur
Pendant que les gauchistes dégénérés de tout poil se font valser par une loi Sécurité globale qui n’a rien de particulier, d’autres saloperies sont votés en catimini avec la complicité de toute l’élite en place. Première chose, des fichiers de la police et de la gendarmerie pourront désormais intégrer des orientations religieuses et politiques. En gros, si t’es facho alias anti-macron, que t’aimes pas les pédés, les végans et autres oeufs pourris du progressisme, disons qu’il va t’arriver des emmerdes.
Mais si tu marques “éco-féministo-antispécisto-transdauphin”, alors t’as le jackpot. Autant qu’à y faire, pourquoi ne pas intégrer les statistiques ethniques, au moins, on connaitrait le pourcentage du grand remplacement parce que là, on est obligé de faire de la colorimétrie cartographique française. Ensuite, mais bon, on s’y attendait, l’obligation vaccinale comme une loi. L’attestation devra préciser que t’es piquousé pour aller dehors. Pas sortir au resto ou aller aux putes, mais juste pour mettre un pied dehors. Autant qu’à y faire encore, ils auraient pu intégrer tous les autres vaccins dans la loi, au moins, ça aurait servi à combattre de vrais maladies.
Et t’as toujours les putes à plume qui te disent que c’est une fake new alors que c’est marqué noir sur blanc sur la loi. Ensuite, vient le pire, l’Etat d’urgence sanitaire entre dans le droit commun. Cela signifie que t’auras besoin d’une attestation et d’un fichage 24/24 même quand il n’y aura plus de virus. Mais c’est le totalirisme que mérite un peuple aussi apathique, servile et lâche.
Le peuple occidental aujourd’hui me fait penser à une femme qui passe par une allée mal famée et qui se fait molester et attoucher de toute part. Elle continue sa route en serrant les bras, en espérant garder au moins quelques particules de dignité à la fin, mais elle se fait enfiler à chaque centimètre qu’elle n’en a cure.
La servilité financière est telle que ces gens acceptent tout, encore et encore, pour garder en quelques pièces, pour garder leur boulot de McDo, pour garder quelques miettes au frigo et si on doit découper le reste de son corps en morceaux et le donner au système, au moins, tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Le mépris de Sénèque pour cette expression se trouve encore justifiée, 2000 ans après.
Cette servilité s’accompagne d’une folie délationniste où non seulement de vendre sa femme et ses filles au proxénétisme ambiant devient une norme, mais ce peuple en redemande encore, exigeant des directives sanitaires plus strictes. Pour exterminer les pauvres, les pue-la-sueurs qui restent, ceux qui ne commencent pas leur phrase par “celles et ceux”, ceux qui jurent et qui dégobillent sur des péteux courtois et des pétasses endimmanchés, empestant un parfum rance à des kilomètres pour faire partie du cosmopolistime qui a détruit les âmes et la moindre particule de courage.