Sur la Terreur


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  • La Terreur est tout sauf discernable par ses signes extérieurs. Dans notre tête, on imagine la Terreur avec des cadavres partout dans la ville, des tueries de masse et des villes à feu et à sang. La Terreur peut être dans une chambre de velours pendant que le maitre de maison peut violer tranquillement des enfants dans la cave. Récemment, le covidisme a été le règne de la Terreur par définition. Car la Terreur se définit par le régime de Suspects.

    Chacun est suspect et chaque broutille devient un crime abominable. Vous êtes une abomination si vous ne portiez pas le masque, vous êtes une menace pour la société si vous ne vous injectiez pas des substances principalement monétaires dans le sang, vous étiez une merde sans nom si vous osiez critiquer le discours officiel. Car le régime des Suspects comme le dit Bernanos dans les Grands cimetières sous la lune, est aussi un régime de délateurs. Pendant la Terreur, vous avez plein de petits kapos de merde qui sortent de leur trou à rat et qui dégueulent H24 sur les petites gens qui n’ont jamais rien fait à personne.

    Normal, fils de lâche et pères de parasites, ils n’ont jamais travaillé de leur vie et ils se rendent compte qu’ils peuvent passer des mois, enfermés dans leur piaule de merde, avec leur pétasse de femme et leur graine de traitre comme enfants, le monde fonctionne sans eux grâce aux petites mains qu’ils veulent écraser à tout prix. Les prostituées à blouse blanche, les donneurs de leçons, les scientificards qui n’ont jamais fait de science de leur vie, tout ce tas d’excrément a eu son heure de gloire pendant le covidisme où on a eu une Terreur qui a provoqué des milliers de morts dans l’indifférence générale, des suicides, par violence conjugale en collant ensemble mari et femme qui ne pouvaient plus se blairer en temps normal, sans oublier les millions de dépressifs et de fous qui ont émergé de la folie covidiste.

    Et contre les partisans de la Terreur, la pitié doit être illégale, il faut les écraser comme des insectes et ne pas se contenter de yeux baissés et sourire en coin, faisant paraitre leur pratiques de la Terreur comme une erreur ou des broutilles, lâches qu’ils sont dans leur culpabilité. Fascinant aujourd’hui, les péteux et pétasses qui s’indignent de morts à l’autre bout du monde alors qu’ils ont autorisé la Terreur avec le sourire et avec bien plus de férocité. L’indignation doit être bannie, c’est l’impuissance des lâches, mais qui ne veulent pas paraitre comme tels. Dans les villages les plus tranquilles de France, vous aviez une guerre civile interne entre les pour et les contre, avec des barricades de parias pour chaque camp, la férocité était au maximum, mais tout le monde faisait semblant de ne rien voir. La Terreur n’a pas de visage, n’a pas de sang sur les mains, la Terreur est un peuple de suspects et de délateurs. Car quand vous êtes suspect, alors on peut tout vous faire sans avoir aucun remords ou regrets.

    Houssen Moshinaly

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