Populus mori
Il y a parfois des flash qui frappent, des évidences dramatiques. J’ai vu quelques mourrants dans le passé dans les hopitaux. Alités depuis des années, abreuvés par des poisons chimiques et maintenus comme des zombies. On peut les gifler, les secouer, les frapper, ils ne réagissent.
Ils sont mourants, ils le savent et ils ont accepté cette évidence macabre. On peut faire tout ce qu’on peut pour les sortir de là, ils sont définitivement fichus. C’est ce qui se passe actuellement avec les peuples occidentaux. Ceci explique l’apathie bovine des français face à la tyrannie sanitaire. On les secoue, on gueule dessus, mais ils sont amorphes, faisant un pas devant l’autre, espérant simplement mourir le plus rapidement possible.
On ne peut rien faire pour des peuples qui se mettent sur le bord des routes pour mourir. Des échevelés tentent de les réveiller, appelant à la grandeur française, à la révolte, mais la vie du peuple français est derrière lui. Les autres peuples occidentaux sont bien pires, ils n’ont plus aucun avenir puisqu’ils n’ont aucune descendance.
Une immigration bien contrôlée aurait pu être la descendance du peuple mourant de France. Via leurs îles et leur royaume maritime, mais on les laisse tomber comme de la merde alors qu’ils doivent être l’avant-garde, car ils sont le sang neuf et bouillonnant de la patrie. Les autres immigrés n’ont pas leur place, car ils ne veulent pas faire partie de cette descendance, car ils veulent la supplanter, planter d’autres drapeaux, d’autres hymnes et d’autres moeurs.
L’Amérique est également mourante, mais sa diversité génétique va peut-être la sauver, on ne voit pas la moindre lueur d’intelligence dans un Redneck et toute sa vie passe comme une limace obèse affalée en mangeant tout ce qui se passe. Les autres communautés en Amérique pourront peut-être reprendre le flambeau, à condition que les Démocrates et le communautarisme n’aient pas injecté un poison anti-américain à doses massives pendant des années.
C’est une triste réalité que l’Occident n’est plus qu’une ombre qui flotte dans le cimetière des civilisations.