Pandora Papers, à quand les Delaware Papers ?

Chaque année, l’ICIJ, l’espèce d’organisation fantoche, soit disant, remplie de journalistes venant du monde, publie des millions de documents, dénonçant l’évasion fiscale. Bon déjà que l’ICIJ est financée directement par l’Open Society de Soros, on peut déjà rigoler devant leur honnêteté.

En fait, les Pandora Papers après les Panama Papers ou encore les fichiers Fincens deviennent tellement grotesques puisqu’ils ne servent qu’à une seule chose, “que le méchant Poutine est le diable et que la gentille Amérique doit le détruire“. Pour éviter que cela ne se voie, on le met aussi avec les affreux rois nègres qui pillent les biens publics africains pour acheter des chateaux en France en évitant de dire que c’est la gentille Amérique qui les a mis en place à la base.

Le Delaware, ce merveilleux Etat américain, vide par sa population et riche par ses banques facilitant l’évasion fiscale, n’est jamais mentionné alors que l’ICIJ est basé à Washington. Bon, on pourrait leur lancer la phrase Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil, mais cela ne servira à rien, ces “gens-là” sont trop progressistes pour lire la Bible.

Donc, ce Delaware qui demande à tous les milliardaires du monde entier, qu’ils mettent leur argent chez eux et ils ont raison, car jamais la gentille Amérique n’ira chercher l’énorme poutre d’évasion fiscale qui siège au milieu de son territoire. Année après année, la diabolisation de la russe et des ennemis de l’Amérique par les confettis des Papers devient tellement ridicule qu’on ne peut rigoler tristement. En fait, l’Amérique veut détruire tous les paradis fiscaux sur Terre pour que seul le sien survive. Ce n’est pas un hasard s’ils ont transformé la Suisse en une véritable passoire.

On peut juste saluer le calme olympien du maitre du Kremlin pour qu’il n’envoie des missiles bien sentis dans la tronche de ces crevards. Si un jour il a son successeur, il n’est pas dit qu’il sera aussi magnanime.