Leo Grasset (Dirtybiology) ou le lynchage médiatique
L’affaire de Leo Grasset (Dirtybiology) montre une fois de plus que les médias veulent être les procureurs et les bourreaux. Le lynchage 2.0 a du bon.
Encore une affaire de viol et de harcèlement avec celle de Leo Grasset. Comme d’habitude, les accusatrices sont des féministes gauchistes de la plus belle eau. Et comme les preuves dans ces affaires sont aussi minces que le string qu’elles portent pour se trémousser devant des vidéastes bon chic bon genre, alors on active Mediapart, la fosse septique du pouvoir, qui est l’un des principaux relais de la gauche communautariste et anti-national. Décidément, les résistants n’ont pas suffisamment massacré les collabos en 1945.
Ce qui est terrible est que l’accusé est directement coupable, la loi de la meute est plus forte que tout. Non que j’ai une quelconque sympathie pour des crapules du genre de ces vulgarisateurs de mes couilles dont certains ne font lire que des fiches Wikipedia en demandant des dons Tipee. Pourtant, l’équation est simple. Si vous avez été violée ou même harcelée, vous portez plainte et l’affaire est réglée.
Aucune de ces pétasses n’a porté plainte jusqu’à présent et pour cause, les preuves n’existent pas et juste des paroles, paroles, interprétations à la mords-moi-le-noeud sur des comportements rugueux pendant des rapports intimes. En sachant que la plupart de ces gauchistes mal baisées étaient consententes.
Cela nous rappelle l’affaire de Florence Porcel face à PPDA qui l’aurait violé. Mais en fait, la midinette se frottait devant sa porte à chaque jour que l’Eternel fait comme une bonne groupie de son espèce. Et ça a accouché d’un trou de souris puisqu’il n’y avait pas de preuves. L’argument de ces femmes est qu’à l’époque, est qu’elles avaient peur de ne je ne sais quoi. Mais merde, on est dans une société tellement féminisée que même un simple regard peut vous valoir un chemin direct vers le bucher. Donc, si vous estimez avoir été violée et vous portez plainte dans la seconde et l’affaire sera réglée.
C’est une énième incarnation de la cancel culture où on veut dézinguer des stéréotypes de mâles hétéro blancs qui ne se couchent pas en minaudant devant des féministes complètement dingues. Et je le répète, je n’ai aucune sympathie pour ces crapules de vulgarisateur, car je me souviendrais toujours de leur propagande, en se mettant à quatre pattes devant Pfizer pour promouvoir les fléchettes qui vous donnent tous les sésames. Pas de pardon, pas d’oubli et pas de compassion. Maintenant qu’on l’a cancellé, ce ne serait pas étonnant qu’une de ces pétasses occupe le créneau qu’il occupait sans oublier les juteux dommages et intérêts parce que fondamentalement, l’histoire se résume à ça. Du fric bon sang, pour alimenter les parasites que nous sommes, du fric bon dieu !
Un discours d’extrémité déconnecté de la réalité et qui ne voit que ce qui sert ses intérêts. En conséquence, ce que vous écrivez est inutile et insignifiant.