Le gouvernement de blouses ensanglantées
Quand on regarde les pays occidentaux, on a envie de prendre une pince et de tirer sur sa chair sanguinolante, tellement c’est stupide. L’hystérie n’a plus de limites et les blouses blanches ensanglantées éclatent de rire en emportant les pauvres hères dans des limbes gelés, de moiteur blanche et de peur primale. Toute la psychopathie des médecins s’est deversé comme un torrent d’acide sur des chairs en fusion, douleur lancinante d’une civilisation qui se meurt, non en explosant comme une supernova, mais en se putréfiant petit à petit dans une folie généralisée et plein de haine du peuple.
Je cherche toujours la blouse blanche, fils ou fille d’ouvrier. Les autres, décapitez-les fissa et envoyez-moi leurs têtes par DHL Express. L’Australie veut vacciner toute sa population, par force pour une “hausse exponentielle de cas”. Exponentielle équivant dans la propagande de terreur des blouses blanches comme 500 cas par jour… sur une population de 24 millions. En France, vous avez les dignes fils et filles de 40, des délateurs hilares, complètement psychiatrisés par des décennies de trahison, de lâcheté et de soumission à un système qui les écrase, tout aussi en éclatant de rire.
Le masque ou la mort, un mantra qui déchire les religions, les familles, les frères et soeurs. Pour une hausse de cas qui est plus mythique que réelle. Mais le mythisme scientifique ambiant, fait péter les licornes, bénit l’avortement alors que l’autre pointe sa tête dans le temple secret. Car il suffit de remplacer le mot “test” par “malade” pour avoir une hausse magique. Pas besoin de baguette magique, la corruption des blouses blanches et un cours sur Excel suffit. Mais test positif égal à la maladie et à la mort par putréfaction. Dans mon bled, test positif égal à malade, mais le nombre n’a pas bougé d’un iota.
Cela montre que la tricherie virale a atteint des sommets au pays du roi Louis et qu’il faudra quelques croisades bien senties pour purger toute cette merde étoilée qui se balade à l’horizon. En sachant que la moitié des tests sur le marché sont bidons et qu’il y 40 % de faux-positifs, tu te retrouve donc avec 90 % d’excréments fallacieux, pondus à grand coups de billets par des blouses blanches qui s’enculent davantage dans leur labo plutôt que de regarder la réalité du monde.
L’épidémie est terminée dans le reste du monde. Certains mauvaises langues diront qu’elle n’a jamais eu lieu. Surtout quand on voit que le nombre de morts en 2020 dans la plupart des pays est égal ou même inférieur à celui de 2019 et 2018. De quoi, pas de morts en plus ? Mais aurait-on caché les cadavres dans les rides faciales de la mère Brigitte ou comment ça se passe. Et l’OMS dans tout ça, Mon Dieu, Mon Dieu, à chaque jour qui passe, ils deviennent plus cons.
J’étais tranquillement sur FaceMasqué l’autre jour en essayant de pécho une pétasse carabinée et voilà que je vois une pub de l’OMS. Un groupe de pétasses, genre annonce publicitaire de Pornhub, avec toutes des masques en mode de fantasme charnel sur les voilées qui peuplent nos nuits de solitude et de vies habitées par le remord. L’OMS s’attend à de belles places dans le gouvernement mondial qui vient et si tu résiste, alors t’es infectieux, séditieux, viralieux, bref, le camp de concentration ou le vaccin. Un vaccin qui protège autant qu’une éjaculation sidéenne au milieu d’un bar à putes au Sierra Leone.
Il faut cramer les blouses blanches et tout ceux qui l’accompagnent, tous ceux qui les adorent, tous ceux qui répètent leurs paroles, tous ceux qui nous pointent du doigt comme des porte-paroles de Dieux infects. Il nous faut un bon brasier, car c’est nous qui allons finir à la broche ou plutôt transpercé et étiqueté par des milliards d’épingles.