La nouvelle laideur des femmes occidentales
L’apparence des femmes occidentales a beaucoup changé. A l’époque, la femme occidentale était le canon de la beauté dans le monde. Combien d’abus de produits nocifs ont été recensé par ces africaines qui se blanchissaient la peau ou les cheveux en voulant ressembler aux blanches. Mais cette époque est révolue, car si on regarde aujourd’hui les femmes occidentales que ce soit sur les sites de porn, les médias et autres plateformes, alors on est frappé par leur laideur et leur perte totale de l’esthétique.
A force de les avoir embrigadé sur l’idée que la femme blanche aux yeux bleus et aux cheveux blonds, étaient le paragon de la toxicité et du colonialisme, elles ont commencé à se dégénérer, émiettant des morceaux de leur apparence comme ces malades mentaux qui déchirent leur photo ou brisent les miroirs, car leur propre vue les dégoute.
Des tatouages à perte de vue afin de cacher la blancheur de la peau. Alors qu’on oublie que dans la plupart des cultures, les tatouages sont apparus soit pour cacher des blessures de guerre, soit pour orner les rites de scarification. Des coupes de cheveux androgynes à souhait et même quand elles essaient de vous allumer, on a envie de s’enfuir ou de se crever les yeux avec une fourchette.
Aucune notion de féminité dans les vêtements, des couleurs criardes comme si elles voulaient la palme dans un concours de clowns et de mauvais gout. Une prestance d’un ours mal léché, faisant des tours de cirque. Les femmes occidentales actuelles sont à l’image de l’occident actuel, complètement dégénérées et putréfiées à chaque année qui passe. Et le problème de la putréfaction est qu’elle est infinie par nature.
On ne voit pas du tout la même chose chez les beautés africaines, asiatiques ou latinos. Comme leur culture les a ancré dans leurs terres et leurs traditions, alors leur beauté a surpassé celle des blanches. Mais en même temps, ces dernières ne veulent plus procréer, car c’est haram, donc, c’est une boucle qui est sur le point de se terminer par son absurdité.