Get out, Jordan Peel et le racisme vu par la gauche bête et dégénérée


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  • J’ai enfin vu quelques bribes de Get out, le film de Jordan Peel. J’ai été halluciné par sa bêtise, son manichéisme et le fait que les critiques considéraient Peel comme un nouveau Hitchcock ! Peel qui est surtout connu pour son jeu d’acteur de seconde zone, humoriste black à deux balles, utilise les prismes de l’horreur pour montrer les injustices. Le gros problème est que son prisme de l’injustice est celui d’un enfant trisomique de 5 ans. Get out, nous disait-on, s’inspire du mythe de Lovecraft, ce n’est juste pas vrai, car ayant lu toutes les oeuvres de Lovecraft plusieurs fois, j’ai même pensé à écrire un livre de commentaire sur Lovecraft, mais la tâche était trop lourde.

    Le pitch de Get out est qu’un noir est maqué avec une blanche. La blanche a le profil de la gauchiste, issue de la fac de socio, déteste la terre entière peuplé de blancs et lèche les noirs au sens littéral. Elle l’emmène voir sa famille blanche qui ignore que le mec est noir. Mais au début, cela se passe bien, car la famille montre le vernis du progressisme le plus délirant. Plaidant toujours pour la cause des noirs et vénérant Obama. Bizarre de vénérer un sanguinaire qui a mené plus de guerres dans le monde que n’importe quel président américain, mais on vénère les fascistes qu’on mérite.

    Petit à petit, le film va devenir horrifique et on apprend que les vieux blancs échangent leurs esprits avec des jeunes noirs en bonne santé, ce qui leur permet de rester jeune éternellement. Et même si cela y ressemble, ce n’est pas un mythe lovecraftien. C’est plus subtil, mais un noir de New-York comme Peel ne pourrait jamais comprendre un esprit supérieur comme Lovecraft. Le mythe de Lovecraft consiste à vaincre la mort par tous les moyens, mais aussi à s’approprier les connaissances des morts d’il y a plusieurs siècles, qui est magistralement démontré par l’Affaire de Charles Ward, le plus grand roman de Lovecraft (oui, il est bien plus magnifique que les montagnes hallucinées).

    Dans Charles Ward, mais également d’autres nouvelles de Lovecraft, vous avez un échange d’âmes, mais c’est lié à la lignée et à la pureté de la race. Le transfert ne peut se faire que de parents à enfants, car Lovecraft était obsédé par la pureté de la race. Et je peux comprendre des gauchistes dégénérés comme Peel qui essaient de lui rendre la monnaie de sa pièce en inversant l’accusation, mais une souris noire, contrairement aux contes, ne fera jamais peur à un éléphant blanc.

    En plus de la transmission purement raciale, le transfert implique de faire appel aux Anciens que ce soit Azaroth, d’utiliser des livres maudits comme le Necronomicon ou le livre des Vers. Ce n’est pas juste un transfert d’âmes pour la beauté de l’histoire, Lovecraft tisse minutieusement sa toile de l’intrigue pour que tous les éléments de son immense mythologie s’imbriquent ensemble.

    Le racisme démontré par Get out n’existe pas dans la réalité. Le blanc ne déteste pas le noir par essence, mais les deux ont un comportement et des cultures différentes qui fait qu’ils ne se mélangeront jamais, spécialement dans le cadre américain. Le pire avec Peel est qu’il a remis ça en salissant la meilleure série d’horreur qui est la 4e dimension. Il a refait toute une saison en montrant des injustices sociales dans chaque épisode.

    Mais c’est tellement mal fait que cela donne envie de vomir, notamment deux épisodes, un sur le racisme noir/blanc et l’autre sur les hommes vis à vis des femmes. Le premier vous dit que quelle que soit la raison, un policier blanc va toujours tuer un noir qu’il fuit, qu’il combat ou qu’il se soumet. C’est abject de tromperie et de racisme et on voit un suprémacisme noir qui s’affirme. Le second est encore pire puisqu’il vous dit que tous les hommes sont des porcs et des violeurs à part les pédés et qu’il faut tous les exterminer.

    Rod Serling, quand il créé la 4e dimension, a aussi voulu dénoncer les injustices sociales. Mais le message principal n’était pas plaqué violemment au visage comme le fait Peel, car il faut du talent et de la créativité pour faire des sous-entendus que le public se chargera de décoder. C’est aussi le gros excrément avec les réalisateurs actuels, est qu’ils ne font pas des films pour raconter une histoire, ils font des films pour qu’on se souvienne d’eux, s’emparant ainsi de la théorie des auteurs qui est un outil pour les critiques et le public et non pour le réalisateur. La théorie des auteurs va permettre de trouver le gimmick d’un réalisateur ou ce qu’il veut dire dans son oeuvre, mais ce n’est pas à lui de le plaquer sur un panneau publicitaire dans son propre film, car cela montre une bêtise et une arrogance qui est typique de la gauche américaine, qui pense qu’elle sait faire des films.

    Le second film de Peel, Us, est dans la même optique, car il raconte les inégalités sociales aux Etats-Unis, mais en occultant complètement que la majorité des pauvres américains sont blancs, il suffit de voir l’état des Appalaches. Pour lui, seuls les noirs sont pauvres et galèrent. Au delà de la propagande éhontée du wokisme la plus infecte, ce qui est terrible est que le rouleau compresseur médiatique dont a bénéficié Peel pour transmettre ses idées. Quand il nous dit qu’il ne veut pas de blancs dans ses films, tout les blanches, écartant les jambes et tout bon sens, opinent de la tête en éructant à quel point il a raison. Et Peel a continué sa salissure en déflorant violemment Candyman, qui est un chef d’oeuvre de l’horreur, rarement égalée par son atypisme et aujourd’hui, le remake de Candyman est un vomi intellectuel, creux, médiocre du mouvement BLM.

    Mais ils ne vont pas s’arrêter. Chef d’oeuvre après chef d’oeuvre, le wokisme américain va salir et putréfier tout ce qu’il touche parce qu’ils n’ont jamais rien fait de leur vie et qu’ils ne feront jamais rien !

    Houssen Moshinaly

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