Cleobis Normality
La saga Biden/Trump se termine enfin. Biden sera un président sénile, caisse de résonnance de l’Etat profond. Il y aura forcément une guerre, les deux plus gros candidats sont l’Egypte et le Venezuela. Le libre-échangisme va battre son plein, détruisant l’industrie américaine. La moitié des américains ont voté Trump, la moitié considère que cette élection a été truquée de a à z. Cela nous donnera un divorce entre ces Etats centraux et des villes cotières, progressistes et anti-nation à en crever. Et ce divorce peut se terminer par une scission ou un éclatement des grands états que nous connaissons. Mais ce n’est pas pour tout de suite.
Dans le même temps, le virus continue son bonhomme de chemin. On parle constamment de nouveaux variants alors qu’ils sont présents depuis février 2020. On sait aujourd’hui que la souche anglaise a été provoqué en partie par le Remdesivir qui est un agent mutagène. Il a provoqué des mutations qui font que le virus est plus résistant aux anticorps et donc, plus virulent. L’Afrique du Sud et l’Angleterre sont les deux pays qui ont utilisé massivement le Remdesivir alors qu’il ne marche absolument pas. A force d’écouter des prostituées en blouse blanche qui ne savent même pas se torcher le cul sans un chèque de Big Pharma, on créé des virus plus dangereux.
Le monde des vaccinés et des non vaccinés est là. Des pays accueillent les voyageurs, uniquement s’ils sont vaccinés. En sachant que c’est stupide, car le vaccin n’empêche pas la transmission. Il faudra être vacciné et négatif au test pour faire un simple voyage et il faudra s’isoler par deux fois. L’urgence climatique, qui est juste un prétexte pour faire du pognon sur du vide, a été rattaché à l’urgence épidémique. Même si le virus disparait un jour, le climat servira à emprisonner les personnes, à les taxer sans relâche, à les traiter comme du bétail qu’il faut piquer sans relâche.
La mort de ma mère en 2019 m’a fait basculer dans la folie. Mais je suis content qu’elle soit partie. Elle venait d’une époque douce et heureuse où les gens se faisaient confiance et où les prostituées en blouse blanche étaient enfermés à double tour dans un cabinet, sachant ancestralement que ce sont des bêtes sauvages. D’une époque où on pouvait parcourir le monde sans attirer la méfiance, un monde disparu, un monde que tout le monde ne lit maintenant que dans les livres, un mot et des moeurs qui étaient nobles et qui faisaient la fierté de la race humaine.
Elle n’aurait pas compris, ni supporté ce monde de merde, putréfié à l’extrême ou les pires raclures, salopards et fils de pute donnent des leçons à longueur de journée en sodomisant tranquillement des enfants pendant leur pause. De vieux crevards, refusant de mourir, survivant par des tuyaux dans tous les trous et marchant comme des cadavres, apportant leur puanteur et leur dégénérescence parmi les vivants.
Incapables de comprendre et d’aimer la liberté de leur vie, elles, ces blouses blanches, ces costards sentant la naphtaline, émettent des particules chaotiques et pestilentielles. On ne l’a pas vu, car il se déplace sans bruit, mais le quatrième cavalier est bien arrivé et sa couleur pâle le camoufle parmi la blouse blanche.