Bons baisers de Zemmour
Ce qui est intéressant avec l’affaire de Zemmour est que c’est la même tactique utilisée contre tous les opposants politiques. Asselineau a eu des baisers volées, Zemmour a eu des baisers volées, Branco sodomise des minettes sur la photocopieuse. Les attaques sont tellement grossières qu’elles sont excellemment pathétiques.
Pour le moment, restant dans le domaine médiatique, on attend le piétinage dans le domaine judiciaire pour disqualifier le gringalet à tête d’oiseau. Car fondamentalement, Zemmour au second tour pourrait nous donner un autre match que celui plié face à la pétasse blonde qui fait oui oui à tout, de même que le camé fait oui oui à tout.
Ce qui est frappant avec ces affaires est que le pouvoir en place est putréfié à l’extrême. De l’excrément, de la pisse et du foudre sortent par tous les pores de sa peau afin de salir ses adversaires. Autrefois, on attaquait en haut de la ceinture, financements, emplois fictifs. Mais comme le camé est le symbole même de la salissure génétique et anthropologique, alors tous les coups, les plus sales, sont permis.
Le pouvoir est despotique à l’extrême, car peu de gens aiment Zemmour et Asselineau ne fera pas plus de 1 %, mais le simple fait qu’ils obtiennent des voix, est insupportable au pouvoir en place qui veut une élection à 90 %. Cette manie ne peut mener que vers des génocides et des guerres civiles, car comme ce type de pouvoir est généralement entouré par des entre-lécheurs de couilles, alors la réalité est plus percutante à chaque fois.
Quand à Branco, son livre est très médiocre, mais il a su le vendre avec l’aide de réseaux étrangers. Il s’est aplati comme une merde devant les putes à plume. Dans ses frasques, on voit la même salissure sexuelle qu’avec la clique du pouvoir. C’est la même merde et pisse qui prédomine chez ce personnage qui mérite surtout sa place dans un asile avec une thérapie de TEC tous les deux jours.
On a également tous les parasites qui sortent du bois à l’approche de cette élection, tous les crevards qui sont restés muets comme un tombe face à la tyrannie sanitaire et qui veulent leurs parts du gateau.