A valde vulgare insanire
Quand vous mettez un cuisinier en prison, alors vous avez atteint la tyrannie fasciste la plus délirante. Un cuisinier et restaurateur qui voulaient juste travailler. Ainsi est la vie dans la douce France où on vous enferme parce que vous voulez travailler alors que pendant des décennies, on a eu des pétasses qui éructaient sur les pauvres hères qui n’allaient pas au travail chaque matin.
Quel drôle de monde où l’oisiveté, sainte mère des maladies mentales, est chantée à tue-tête par des prostituées en blouse blanche et des parasites, mais aussi quoi de plus normal de leur part, ils n’ont jamais travaillé de leur vie et la pauvreté, ils la connaissent uniquement dans les romans de Dickens.
Outre-rhin, les vieilles habitudes ont la vie dure. Dès que les choses vont mal, les shleus construisent des camps. Cette fois, pas de juifs ou de pédés en pyjamas rayés, mais les personnes qui refusent la version officielle du covid, ceux qui pensent que ces nouveaux vaccins sont de la merde, ceux qui pensent que la chloroquine marche et ceux qui pensent qu’il y a un génocide économique en cours pour détruire le savoir-faire individuel pour qu’il soit remplacé par du Made in Amazon qui est l’équivalent du Made in China.
Le lissage le plus absolu, la standardisation des âmes et des corps dans un code barre, quoi de plus normal de la part de bureaucrates devenus des fous délirants, car une administration sans tête est condamnée à la folie.
En Angleterre, vous avez des brigades sanitaires, principalement des petits flics qui défoncent les portes des maisons pour vérifier que la petite maison dans la prairie respecte bien les gestes barrières et que tout le monde est masqué. Comme des lapins tétanisés face à ce délire déferlant, les peuples occidentaux ne bougent pas, ne gueulent pas, ne protestent pas, ne font rien à part courber l’échine en espérant que cela va passer.
Ils se vaccinent par contrainte, ils se masquent pour éviter de payer les 135 deniers traitres, ils plient en espérant que leurs maitres daigneront leur redonner une vie normale. On se demande qui sont les fous.
Mais la folie et la putréfaction ont le point est qu’elles sont infinies par nature. Elles ne s’arrêteront pas, le fascisme ne peut pas s’arrêter à moins qu’on le stoppe avec la baionnette et la bombe H. Ce sont des fous dont le tragique est qu’on doit les stopper de la manière la plus sanguinaire et la plus brutale possible.