Sur la science salie


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  • Voilà bien des malotrus et des prostituées, en blouse blanche. Sortant d’un film loin de la bienséance et qui donne des leçons au monde entier. Une véritable plaie s’est créé autour d’eux, comme une race engluée dans la corruption comme les cadavres de pouvoir, la même veine, le même sang, la même lacheté, le même égoisme, la même avidité, la même voracité et la même haine de ceux qui n’ont rien. Se reproduisant comme des virus, clones à l’identique, sans aucune aspérité. Des blouses pour des costumes gris, par milliers, dans des bureaux, dans des labos dont la seule invention est les mensonges pour avoir les deniers de ceux qui n’ont rien.

    Montrant leur inutilité et leur parasite dans les grandes époques de changement. Se voyant sous la lumière glaciale et tranchante du monde réel, les milliers d’yeux, les regardant, les jugeant, comprenant leur vraie nature de mendiants en rolex. Insultant les autres d’avoir été dévoilé, cachant leur pourriture existentielle sous un tas de mots, compliqués à outrance et inutiles à souhait. Demandant toujours plus de deniers et bavant de rage devant les vraies blouses blanches, qui n’ont ni froid aux yeux, ni chaud aux fesses. Des corrompus d’un nouveau genre, à force de s’accoupler avec les mêmes cadavres du pouvoir, pendant des générations, ayant crée une caste de dégénérés, humant les culottes de leur maitre et maitresse, de peur que la laisse se fasse trop raide. De véritables insultes sur pattes à la sapience.

    Houssen Moshinaly

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