Les flics invoquent la tête de Twitter en Inde pour un violent conflit vidéo


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  • Les flics indiens ont envoyé un avis au directeur général de Twitter India, Manish Maheshwari, à comparaître devant eux. Juste à l’est de la capitale, la police basée dans la ville relativement petite de Ghaziabad, lui a demandé de se présenter et d’enregistrer une déclaration concernant un cas en cours de vidéo virale.

    Plus tôt cette semaine, la police de la ville a déposé un dossier contre Twitter, les journalistes Mohammed Zubair et Rana Ayyub, et l’entité médiatique en ligne The Wire, pour avoir prétendument provoqué des tensions communautaires par le biais de tweets. Ces tweets contenaient une vidéo d’un vieil homme musulman agressé à Ghaziabad.

    L’avis envoyé en hindi dit : « Certaines personnes utilisent Twitter pour essayer de répandre l’animosité et les tensions entre les communautés. Twitter s’est opposé à cela et a permis à ces messages de devenir viraux et d’atteindre un public plus large à travers le pays. L’enquête sur ce problème est en cours et votre participation est obligatoire. Vous devez vous présenter au poste de police des frontières de Loni dans les sept jours.

    Cet avis intervient quelques jours après les rumeurs de Twitter perd sa sphère de sécurité en Inde. Cependant, à l’époque, des avocats avaient suggéré que seul le tribunal, et non le gouvernement, pouvait décider si une entreprise était un intermédiaire ou non. Plus tôt cette semaine, le ministre de l’informatique RS Prasad a critiqué Twitter pour ne pas avoir respecté Les nouvelles règles de police des médias sociaux de l’Inde à l’heure.

    Le mois dernier, la police de Delhi s’est rendue dans les bureaux de Twitter India pour notifier un cas lié à la balise média manipulée appliqué par le réseau social.

    Cependant, à cause de la pandémie, les bureaux ont été fermés et ils ont dû rentrer. Alors que le gouvernement continue de serrer les vis sur l’entreprise, Twitter devra se préparer pour s’attaquer à ce qui semble être que le début de ses problèmes juridiques en Inde.

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