Les géants de l’industrie occidentale s’emparent de la Russie, menaçant 33 milliards de dollars de projets


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    Pièce jointe : RussieUkraineInvest–0322

    SUGAR LAND–11 mars 2022–Recherché par Industrial Info Resources (Sugar Land, Texas)–En seulement deux semaines, les entreprises américaines et européennes ont rompu leurs liens avec la Russie et ses leaders industriels à un rythme que peu, voire aucun, prévoyaient les observateurs du marché. Les sanctions des gouvernements occidentaux ont paralysé les principales institutions financières de la Russie, ce qui, avec une certaine honte publique à l’ancienne, a forcé certains des titans industriels du monde à reconsidérer les investissements de grande valeur dans les secteurs pétrolier, gazier, minier et automobile de la Russie, entre autres. Industrial Info suit plus de 33 milliards de dollars de projets en Russie qui ont été touchés, dont la majeure partie dans le secteur de l’énergie.

    Dans cet article : Détails sur certains des projets les plus importants basés en Russie, mais détenus ou détenus en copropriété par des sociétés étrangères, qui seront retardés, suspendus ou autrement affectés par la guerre en Ukraine.

    Entreprises présentées : Novatek, Sberbank, Gazprombank, Bank GPB International SA, VEB.RF, Otkritie, Rosneft, ExxonMobil Corporation (NYSE :XOM), Groupe SNC-Lavalin Incorporée (TSX : SNC), BP plc (Bourse de New York : BP), HeidelbergCement AG, Toyota Motor Corporation (NYSE : MC), Volkswagen SA, Ford Motor Company (NYSE :F) et Hyundai Motor Company.

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