Nouveaux matériaux et technologies aidant à améliorer les alternatives laitières


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  • Quelles catégories de produits laitiers alternatifs ont le plus grand potentiel de croissance ? Quels facteurs motivent cette croissance ?

    Les produits laitiers alternatifs peuvent être une porte d’entrée vers un mode de vie plus flexitarien, les alternatives au lait non laitier étant en tête du peloton. Cette catégorie est plus mature et de nombreuses options sont disponibles, y compris des alternatives au lait à base de soja, de noix et d’avoine.

    Avec des technologies de pointe et de nouvelles sources de matières premières, les formulateurs résolvent les problèmes de goût et de texture pour créer des alternatives qui imitent plus étroitement les produits laitiers traditionnels. Par exemple, les alternatives laitières contenant des produits d’avoine modifiés enzymatiquement sont en plein essor.

    La recherche d’ADM révèle que la consommation d’alternatives laitières à base de plantes est plus répandue au petit-déjeuner et aux collations entre les repas1​. De plus, 48 % des utilisateurs réguliers de produits laitiers qui profitent d’une collation ou d’un repas léger pour commencer ou terminer la journée, seuls ou en famille, seraient prêts à remplacer leur dernière occasion laitière dans cette situation par une option à base de plantes.1​. Les marques peuvent répondre à ce besoin en améliorant l’expérience sensorielle des aliments adaptés au matin comme les alternatives aux laits et crèmes, les yaourts et les smoothies prêt-à-manger.

    Un autre domaine de croissance est celui des alternatives au fromage pour les collations ou les repas principaux, et la fermentation est une solution passionnante et tournée vers l’avenir. Les scientifiques de l’alimentation reconstruisent des caractéristiques similaires aux produits laitiers avec des produits tels que le lactosérum sans produits laitiers et les protéines de caséine sans produits laitiers issus de processus de fermentation de précision.

    Il s’agit d’une évolution dans la catégorie des fromages non animaux actuellement dominés par les variétés à base de plantes, qui consistent généralement en un équilibre délibéré d’amidons, d’eau et de graisses qui peuvent imiter la texture du fromage laitier. Avec une protéine laitière non animale issue de la fermentation, nous commençons à résoudre les facteurs de nutrition et de performance de l’équation.

    Source

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